RDC : Bellarmain Mpika recadre les occidentaux

 Le coordonnateur du Mouvement citoyen de congolais de père et mère, Bellarman Mpika exige aux occidentaux de respecter le Peuple Congolais . Cette annonce a été publié ce jeudi 28 juillet 2022 sur son compte Facebook.



En effet, Bellarmain Mpika a réagit contre ce jeudi 28 juillet 2022, aux menaces proférées par l'Union européenne, l'ONU et les USA a l'égard du peuple congolais concernant les manifestations anti-ONU et sa MONUSCO.


Dans la foulée, il dit : " Cependant, la même ONU que vous voulez garder sur le sol congolais et est la même qui interdit le gouvernement congolais d'acheter les armes contre les rebelles qui tuent matin, midi et soir nos compatriotes de l' Est du pays. Cette organisation des impérialistes n'a rien de bon pour le peuple congolais ".


Et d'ajouter :

" En outre, Nous ne sommes pas un pays sous tutelle de L' ONU. Nous sommes un pays libre et indépendant comme la Russie, les USA , la France ...".


Il a enchéri en disant :

" Aucun congolais a besoin aujourd'hui de faire allégeance aux petits énergumènes et apprenti-sorciers de cette communauté criminelle dite internationale.


" Par conséquent, nous lançons un vibrant appel au peuple congolais de rester au qui-vive pour déloger l'ennemi du Congo, car l'heure de la vraie indépendance de l'Afrique a sonné afin d'être respecté par les occidentaux ", a conclu bellarmain Mpika .


Signalons que le secrétaire général de l'ONU a menacé en disant que toute attaque dirigée contre les casques bleus des Nations-Unies peut constituer un crime de guerre et appelle les autorités congolaises à enquêter sur ces incidents et à traduire rapidement les responsables en justice.


Il sied de rappeler que le lundi 25 et le mardi 26 juillet, plusieurs manifestations ont été organisées dans le Nord-Kivu. Les manifestants avaient pris d’assaut certains bases et quartiers généraux de la MONUSCO notamment à Goma, Nyiragongo, Rutshuru, Lubero, Butembo et Beni pour exiger le retrait de la mission onusienne, jugée inefficace face aux massacres de civils dans l’Est de la RD Congo.

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